Portede la Chapelle (XVIIIe). Sur l’immense toit d’une halle logistique dont la construction vient de s’achever dans le cadre du futur quartier Chapelle International, une ferme urbaine de Loiseau symbolise notre Ăąme en Ă©tant l’intermĂ©diaire entre le ciel et la terre. L’oiseau symbolise l’amitiĂ© que nous portent les Dieux. Les chamanes ont la capacitĂ© de se transformer en oiseaux et de voler jusqu’à l’arbre du monde, pour rapporter des Laterre nous fait attendre ses prĂ©sents Ă  chaque saison, mais on recueille Ă  chaque instant les fruits de l'amitiĂ© . ThĂšmes. amies amis amour argent belle bienvenue bisous blog bonjour Top50. des charades les plus faciles, si tu n’y arrives pas c’est chaud. Pour jouer avec tes enfants, ton neveu ou ta niĂšce, le dĂ©mon que tu gardes, tes potes ou toi-mĂȘme, c’est bien Je tiens Ă  recadrer ce rp dans son contexte, c'est Ă  dire peu de temps avant que Yumee ne soit nommĂ©e Kazekage; une semaine aprĂšs son retour Ă  Suna.] Le matin Lesarchives par sujet : bella vita. PrĂ©cĂ©dent 3 456 Suivant CinĂ©ma : MystĂšre. CinĂ©ma, Animaux Capvern 65130 Le 26/01/2022 Film famille, d'aventures rĂ©alisĂ©e par Denis Imbert Avec Vincent Elbaz, Shanna Keil, Marie Gillain DurĂ©e : 1h23 Synopsis : StĂ©phane dĂ©cide d’emmĂ©nager dans les belles montagnes du Cantal afin de renouer avec sa fille de 8 ans, Victoria, mutique depuis la . in Sources, Ă©ditions Encres de Siagne – 2013 L’Enfant tutoyait la mer Comme l’avenir Dans les nuages Ă©tirĂ©s. PrĂšs, un halo blond de lune RĂ©flĂ©chi dans l’espace Étroit. Des lettres-pas dans le sable Caresse du vent Sur la poudre de nacre. Assise, l’Enfant percevait. Dans les vagues Écoutait la plaine ocĂ©ane OĂč naissent les lĂ©gendes. Au bord du froid Ă  venir, Étaient les bruines d’octobre Sur la toile tissĂ©e de nuit, Dans les roseaux du petit jour, Un premier cristal de givre Il y a lĂ , comme sorti trop tĂŽt du rĂȘve, Un blanc d’écume lissant L’attache d’un ciel natal. Et l’Enfant devant l’onde Comme elle est bleue, Ici et, chaude pour bercer le corps, Le temps n’a pas encore les tons fanĂ©s. Sur le toit de la chapelle des pĂȘcheurs, Une Dame coiffĂ©e de cĂ©rulĂ©en Domine la vastitude iodĂ©e. Une lune gĂ©ante naĂźt, Parmi les traits d’un pin maritime, Une patine de dorure pour l’azur. Il y a lĂ , une main dĂ©liant les certitudes Dans le courant des grĂšves La signature de l’impĂ©nĂ©trant. Seule, une authentique certitude, Sous les mains, des calepins d’école. Une effraction gĂźt. Une main nĂ©gative, engendrĂ©e La main-mĂšre serrant les jours contre les heures Quand l’oubli se dĂ©tache du lien de sang, DĂ©nichant les Ɠufs de goĂ©lands Soulevant les voiles Soulevant tout contre le grĂ© de l’eau DĂ©faisait l’enfant du cƓur de son Ă©tĂ©. Dans la sĂ©rie Six pieds sous terre, les tĂ©lĂ©spectateurs attendaient avec une morbide dĂ©lectation le dĂ©cĂšs qui amorçait chaque Ă©mission. À l’autre bout du spectre de la vie, Venir au monde pige dans l’inĂ©puisable rĂ©servoir des accouchements improbables, et pourtant tous extraits de faits vĂ©cus Ă  travers des tĂ©moignages. Le rĂ©el empiĂ©tant comme il se doit sur la fiction. StĂ©phane Bourgeois PremiĂšre scĂšne les eaux crevĂ©es, une femme saute dans sa voiture pour se rendre seule Ă  l’hĂŽpital le plus proche. Sur la route de Murdochville, elle frappe un orignal et se retrouve coincĂ©e dans le vĂ©hicule. La bĂȘte n’est pas morte et la femme sonnĂ©e s’en tire sans blessure apparente, mais en position pĂ©rilleuse. Cette anecdote se pose comme trame de fond oĂč viendront se greffer d’autres histoires d’accouchements tragiques, loufoques, dramatiques, lumineuses. La scĂ©nographie d’Ariane SauvĂ©, articulĂ©e sur une structure centrale dĂ©calĂ©e en hauteur, raconte Ă  travers des parois transparentes l’étonnante position des acteurs de cet accident au milieu de nulle part l’orignal agonisant sur le toit bloquant les issues, menaçant d’enfoncer la tĂŽle, et la femme, emprisonnĂ©e derriĂšre un pare-brise fracturĂ© en toile d’araignĂ©e, devant affronter seule la naissance. Se dĂ©ploie une tension qui nous tient sur le qui-vive. L’image illustre aussi bien l’état mental que physiologique de la femme il y a collusion de monde contre la vie. Tout autour, s’affairent services d’urgence et rares voyageurs pour s’extraire de cette scĂšne chaotique. Les vies de la mĂšre et de l’enfant deviennent l’enjeu central de cette piĂšce chorale oĂč, comme dans la vraie vie, les naissances arrivent en rafale. Le reste de la scĂšne dĂ©pouillĂ©e se mĂ©tamorphose au grĂ© des Ă©clairages et des accessoires en lieux d’accouchement parfois usuels, mais souvent insolites comme pour cette femme qui accouche en pleine fĂȘte d’anniversaire sur la table mĂȘme oĂč attendent gĂąteau et gourmandises. Dans une sorte de dĂ©lire surrĂ©aliste que dĂ©fend avec brio Erika Gagnon, l’accouchement atteint son paroxysme aux cris exubĂ©rants des enfants Go, maman, go ! » et aux exhortations complices du pĂšre resplendissant qui accueille son dernier nĂ© dans les mains. Entre douleur et exaltation, la vie StĂ©phane Bourgeois Chaque naissance est le creuset des misĂšres et des splendeurs de l’humanitĂ©. Ici se joue le drame de la vie entre vulnĂ©rabilitĂ© et vigueur. L’autochtone violentĂ©e rejetant son enfant qu’adoptera l’infirmiĂšre sĂ©duite par le nourrisson, la prĂ©maturĂ©e qui retrouve le souffle Ă  travers le rĂ©cit merveilleux de la vie, murmurĂ© dans ses oreilles par ses parents, le mort-nĂ© que le mĂ©decin ne peut sauver, la femme qui meurt en couche, cette autre qui accouche en face de sa mĂšre moribonde
 À travers les rĂ©cits d’une dizaine de naissances, Anne-Marie Olivier explore le monde dans une gamme d’émotions teintĂ©es de tensions sociales et ethniques, de joie pure, de douleurs, de souffrance psychologique, d’espoir. Mais chacune des situations repose sur une trame continue le grand moment. En effet, toutes les comĂ©diennes parturientes expriment la mĂȘme expĂ©rience peur lĂ©gĂšre, angoisse du premier accouchement, cris qui servent autant Ă  expulser l’enfant qu’à limoger les craintes, Ă  apaiser la douleur, Ă  hurler sa puissance, concentrant la rage, la volontĂ©, l’effort de guerre, puis le soulagement, la joie brute, ou la noirceur totale. La complicitĂ© d’Anne-Marie Olivier et VĂ©ronique CĂŽtĂ© avec l’équipe de conception est palpable dans ce spectacle d’une grande maturitĂ©. À part quelques passages qui tendent Ă  s’égarer, Olivier maĂźtrise bien son Ă©criture, utilisant avec parcimonie les images mĂ©taphoriques qui plombent souvent ses textes. Les choix de mise en scĂšne multipliant les images fortes, portĂ©es par des comĂ©diens solides, nous entraĂźnent dans un maelstrom de naissances au rythme effrĂ©nĂ©, traçant un tableau saisissant de la puissance de la vie. Venir au monde Texte Anne-Marie Olivier. Mise en scĂšne VĂ©ronique CĂŽtĂ©. ScĂ©nographie Ariane SauvĂ©. Costumes Karine Mecteau-Bouchard. Éclairages Jean-François LabbĂ©. Musique JosuĂ© Beaucage. Avec Charles-Étienne Beaulne, Lou-Adriane Cassidy, Érika Gagnon, Maryse Lapierre, Christian Michaud, Anne-Marie Olivier, Marco Poulin et Alexandra Warren. Une production du Trident, prĂ©sentĂ©e jusqu’au 20 mai 2017. [one_third][/one_third] Par Stephanie Dawn – Le 22 avril 2020 EN UN CLIN D’ƒIL » Mes frĂšres et sƓurs, nous sommes sĂ»rement proches de cet Ă©vĂ©nement des plus Ă©tonnants. Vous ĂȘtes-vous demandĂ© Ă  quoi ressemblerait l’enlĂšvement ? Saurons-nous ce qui se passe ? Aurons-nous une derniĂšre occasion de tĂ©moigner ? Explorons les rĂ©ponses Ă  ces questions ! Examinons la rĂ©surrection de JĂ©sus dans l’immortalitĂ© Le premier jour de la semaine, elles se rendirent au sĂ©pulcre de grand matin, portant les aromates qu’elles avaient prĂ©parĂ©s. Elles trouvĂšrent que la pierre avait Ă©tĂ© roulĂ©e de devant le sĂ©pulcre ; Et Ă©tant entrĂ©es, elles ne trouvĂšrent pas le corps du Seigneur JĂ©sus
 Mais Pierre se leva, et courut au sĂ©pulcre. S’étant baissĂ©, il ne vit que les linges qui Ă©taient Ă  terre ; Puis il s’en alla chez lui, dans l’étonnement de ce qui Ă©tait arrivĂ©. » Luc 241-3, 12 Nous savons par le rĂ©cit de la RĂ©surrection de JĂ©sus d’entre les morts qu’Il n’a pas laissĂ© son corps derriĂšre lui. Son corps physique a Ă©tĂ© transformĂ© du temporel en Ă©ternel. Examinons le rĂ©cit de Jean, qui est plus dĂ©taillĂ© Le premier jour de la semaine, Marie de Magdala se rendit au sĂ©pulcre dĂšs le matin, comme il faisait encore obscur ; Et elle vit que la pierre Ă©tait ĂŽtĂ©e du sĂ©pulcre. Elle courut vers Simon Pierre et vers l’autre disciple que JĂ©sus aimait, et leur dit Ils ont enlevĂ© du sĂ©pulcre le Seigneur, et nous ne savons oĂč ils l’ont mis. Pierre et l’autre disciple sortirent, et allĂšrent au sĂ©pulcre. Ils couraient tout deux ensembles. Mais l’autre disciple courut plus vite que Pierre, et arriva la premier au sĂ©pulcre ; S’étant baissĂ©, il vit les bandes qui Ă©taient Ă  terre, cependant il n’entra pas. Simon Pierre, qui le suivait, arriva et entra dans le sĂ©pulcre ; Il vit les bandes qui Ă©taient Ă  terre, et le linge qu’on avait mis sur la tĂȘte de JĂ©sus, non pas avec les bandes, mais pliĂ© dans un lieu Ă  part. Alors l’autre disciple, qui Ă©tait arrivĂ© le premier au sĂ©pulcre, entra aussi ; Et il vit, et il crut. Car ils ne comprenaient pas encore que, selon l’Écriture, JĂ©sus devait ressusciter des morts. Et les disciples s’en retournĂšrent chez eux. Cependant Marie se tenait dehors prĂšs du sĂ©pulcre, et pleurait. Comme elle pleurait, elle se baissa pour regarder dans le sĂ©pulcre ; Et elle vit deux anges vĂȘtus de blanc, assis Ă  la place oĂč avait Ă©tĂ© couchĂ© le corps de JĂ©sus, l’un Ă  la tĂȘte, l’autre aux pieds. Ils lui dirent Femme, pourquoi pleures-tu ? Elle leur rĂ©pondit Parce qu’ils ont enlevĂ© mon Seigneur, et je ne sais oĂč ils l’ont mis. En disant cela, elle se retourna, et elle vit JĂ©sus debout ; Mais elle ne savait pas que c’était JĂ©sus. » Jean 201-14 Le rĂ©cit de Jean affirme que JĂ©sus n’a pas laissĂ© son corps derriĂšre lui ; Il Ă©tait passĂ© de matĂ©riel Ă  immatĂ©riel. Il a cependant laissĂ© derriĂšre lui ses tissus funĂ©raires. Ainsi, nous savons que nous ne laisserons pas nos corps derriĂšre nous, mais nous laisserons nos vĂȘtements. Nous ne laisserons pas notre sang derriĂšre nous ; JĂ©sus n’a pas laissĂ© de flaques de son sang derriĂšre lui. Notre sang sera transformĂ© avec notre corps. Bien-aimĂ©s, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore Ă©tĂ© manifestĂ© ; Mais nous savons que, lorsque cela sera manifestĂ©, nous serons semblables Ă  lui, parce que nous le verrons tel qu’il est. » 1 Jean 32 Je soupçonne fortement que nous laisserons Ă©galement derriĂšre nous tous les ajouts non charnels Ă  notre corps implants, bijoux, plombages, orthĂšses, etc., mais, nous ne pouvons pas le savoir avec certitude. Examinons notre rĂ©surrection/enlĂšvement dans l’immortalitĂ© Tout comme JĂ©sus a Ă©tĂ© transformĂ©, nous serons transformĂ©s du physique Ă  l’immatĂ©riel ; Du temporel Ă  l’éternel. Mais maintenant, Christ est ressuscitĂ© des morts, il est les prĂ©mices de ceux qui sont morts. Car, puisque la mort est venue par un homme, c’est aussi par un homme qu’est venue la rĂ©surrection des morts. Et comme tous meurent en Adam, de mĂȘme aussi tous revivront en Christ, mais chacun en son rang, Christ comme prĂ©mices, puis ceux qui appartiennent Ă  Christ, lors de son avĂšnement. » 1 Corinthiens 1520-23 Et de mĂȘme que nous avons portĂ© l’image du terrestre, nous porterons aussi l’image du cĂ©leste. Ce que je dis, frĂšres, c’est que la chair et le sang ne peuvent hĂ©riter le royaume de Dieu, et que la corruption n’hĂ©rite pas l’incorruptibilitĂ©. Voici, je vous dis un mystĂšre Nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changĂ©s en un instant, en un clin d’Ɠil, Ă  la derniĂšre trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changĂ©s. Car il faut que ce corps corruptible revĂȘte l’incorruptibilitĂ©, et que ce corps mortel revĂȘte l’immortalitĂ©. Lorsque ce corps corruptible aura revĂȘtu l’incorruptibilitĂ©, et que ce corps mortel aura revĂȘtu l’immortalitĂ©, alors s’accomplira la parole qui est Ă©crite La mort a Ă©tĂ© engloutie dans la victoire. Ô mort, oĂč est ta victoire ? Ô mort, oĂč est ton aiguillon ? » 1 Corinthiens 1549-55 Ne vous Ă©tonnez pas de cela ; Car l’heure vient oĂč tous ceux qui sont dans les sĂ©pulcres entendront sa voix, et en sortiront. Ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, mais ceux qui auront fait le mal ressusciteront pour le jugement. » Jean 528-29 Nous ne voulons pas, frĂšres, que vous soyez dans l’ignorance au sujet de ceux qui dorment, afin que vous ne vous affligiez pas comme les autres qui n’ont point d’espĂ©rance. Car, si nous croyons que JĂ©sus est mort et qu’il est ressuscitĂ©, croyons aussi que Dieu ramĂšnera par JĂ©sus et avec lui ceux qui sont morts. Voici, en effet, ce que nous vous dĂ©clarons d’aprĂšs la parole du Seigneur Nous les vivants, restĂ©s pour l’avĂšnement du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont morts. Car le Seigneur lui-mĂȘme, Ă  un signal donnĂ©, Ă  la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premiĂšrement. Ensuite, nous les vivants, qui seront restĂ©s, nous serons tous ensemble enlevĂ©s avec eux sur des nuĂ©es, Ă  la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles. » 1 Thessaloniciens 413-17 Cette transformation, ou changement, de mortel Ă  immortel se produit en un clin d’Ɠil, instantanĂ©ment. Nos nouveaux vĂȘtements Ne vous inquiĂ©tez pas, nous ne serons pas nus, la Bible nous dit que nous serons vĂȘtus de robes blanches. Les robes blanches reprĂ©sentent la justice du Christ Je me rĂ©jouirai en l’Éternel, mon Ăąme sera ravie d’allĂ©gresse en mon Dieu ; Car il m’a revĂȘtu des vĂȘtements du salut, il m’a couvert du manteau de la dĂ©livrance, comme le fiancĂ© s’orne d’un diadĂšme, comme la fiancĂ©e se pare de ses joyaux. » ÉsaĂŻe 6110 L’ange, prenant la parole, dit Ă  ceux qui Ă©taient devant lui Ôtez-lui les vĂȘtements sales ! Puis il dit Ă  JosuĂ© Vois, je t’enlĂšve ton iniquitĂ©, et je te revĂȘts d’habits de fĂȘte. » Zacharie 3 4 RĂ©jouissons-nous et soyons dans l’allĂ©gresse, et donnons-lui gloire ; Car les noces de l’agneau sont venues, et son Ă©pouse s’est prĂ©parĂ©e, et il lui a Ă©tĂ© donnĂ© de se revĂȘtir d’un fin lin, Ă©clatant, pur. Car le fin lin, ce sont les Ɠuvres justes des saints
 Les armĂ©es qui sont dans le ciel le suivaient sur des chevaux blancs, revĂȘtues d’un fin lin, blanc, pur. » RĂ©vĂ©lation 197-8,14 Bien que nos propres actions ne soient que des chiffons sales » en ce qui concerne le salut, il semble que les actions justes que nous avons accomplies en et par Christ peuvent jouer un rĂŽle dans nos vĂȘtements de mariage. Quelle pensĂ©e qui donne Ă  rĂ©flĂ©chir, quel genre de vĂȘtement de mariage suis-je en train de fabriquer ? À quoi ressembleront nos nouveaux corps ? Mais notre citĂ© Ă  nous est dans les cieux, d’oĂč nous attendons aussi comme Sauveur le Seigneur JĂ©sus-Christ, qui transformera le corps de notre humiliation, en le rendant semblable au corps de sa gloire, par le pouvoir qu’il a de s’assujettir toutes choses. » Philippiens 320-21 Bien-aimĂ©s, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore Ă©tĂ© manifestĂ© Mais nous savons que, lorsque cela sera manifestĂ©, nous serons semblables Ă  lui, parce que nous le verrons tel qu’il est. » 1 Jean 32 Et de mĂȘme que nous avons portĂ© l’image du terrestre, nous porterons aussi l’image du cĂ©leste. » 1 Corinthiens 1549 Les Écritures nous disent que nos corps seront transformĂ©s pour ĂȘtre comme le corps glorieux de JĂ©sus, nous serons comme lui. À quoi ressemblait son corps transformĂ© ? Le soir de ce jour, qui Ă©tait le premier de la semaine, les portes du lieu oĂč se trouvaient les disciples Ă©tant fermĂ©es, Ă  cause de la crainte qu’ils avaient des Juifs, JĂ©sus vint, se prĂ©senta au milieu d’eux, et leur dit La paix soit avec vous ! Et quand il eut dit cela, il leur montra ses mains et son cĂŽtĂ©. Les disciples furent dans la joie en voyant le Seigneur. » Jean 2019-20 Huit jours aprĂšs, les disciples de JĂ©sus Ă©taient de nouveau dans la maison, et Thomas se trouvait avec eux. JĂ©sus vint, les portes Ă©tant fermĂ©es, se prĂ©senta au milieu d’eux, et dit La paix soit avec vous ! » Jean 2026 Et voici, ce mĂȘme jour, deux disciples allaient Ă  un village nommĂ© EmmaĂŒs, Ă©loignĂ© de JĂ©rusalem de soixante stades ; Et ils s’entretenaient de tout ce qui s’était passĂ©. Pendant qu’ils parlaient et discutaient, JĂ©sus s’approcha, et fit route avec eux. Mais leurs yeux Ă©taient empĂȘchĂ©s de le reconnaĂźtre
 Lorsqu’ils furent prĂšs du village oĂč ils allaient, il parut vouloir aller plus loin. Mais ils le pressĂšrent, en disant Reste avec nous, car le soir approche, le jour est sur son dĂ©clin. Et il entra, pour rester avec eux. Pendant qu’il Ă©tait Ă  table avec eux, il prit le pain ; Et, aprĂšs avoir rendu grĂące, il le rompit, et le leur donna. Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent Mais il disparut de devant eux. » Luc 2413-16, 28-31 Nous voyons Ă  partir de ces deux passages que JĂ©sus pouvait passer par des portes closes, se cacher de la reconnaissance, se rĂ©vĂ©ler et disparaĂźtre Ă  volontĂ©. Je suggĂ©rerais que JĂ©sus a dĂ©montrĂ© la capacitĂ© de passer d’une dimension Ă  une autre, du spirituel au temporel. Puisque nos corps seront tels que le sien, je ne serais pas surpris que nous puissions Ă©galement nous transporter entre ces deux dimensions. Une derniĂšre occasion de tĂ©moigner ? Bien que la transformation/rĂ©surrection soit un Ă©vĂ©nement instantanĂ© en un clin d’Ɠil, et que le rattrapage semble Ă©galement ĂȘtre un Ă©vĂ©nement rapide, il peut y avoir un lĂ©ger dĂ©calage entre les Ă©vĂ©nements de transformation et de rattrapage. Nous ne voulons pas, frĂšres, que vous soyez dans l’ignorance au sujet de ceux qui dorment, afin que vous ne vous affligiez pas comme les autres qui n’ont point d’espĂ©rance. Car, si nous croyons que JĂ©sus est mort et qu’il est ressuscitĂ©, croyons aussi que Dieu ramĂšnera par JĂ©sus et avec lui ceux qui sont morts. Voici, en effet, ce que nous vous dĂ©clarons d’aprĂšs la parole du Seigneur Nous les vivants, restĂ©s pour l’avĂšnement du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont morts. Car le Seigneur lui-mĂȘme, Ă  un signal donnĂ©, Ă  la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premiĂšrement. Ensuite, nous les vivants, qui seront restĂ©s, nous serons tous ensemble enlevĂ©s avec eux sur des nuĂ©es, Ă  la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles. » 1 Thessaloniciens 413-17 Voici, je vous dis un mystĂšre Nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changĂ©s, en un instant, en un clin d’Ɠil, Ă  la derniĂšre trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changĂ©s. » 1 Corinthiens 1551-52 Examinons la sĂ©quence des Ă©vĂ©nements dans les deux passages ci-dessus JĂ©sus descend du ciel le troisiĂšme ciel spirituel dans les nuages ? le premier ciel atmosphĂ©rique avec les Ăąmes des croyants qui se sont endormis sont morts en lui. JĂ©sus crie, la voix d’un archange retentit, la trompette de Dieu retentit, et les morts et les vivants en Christ reçoivent leurs corps de rĂ©surrection. Ce changement se produit en un instant, en un clin d’Ɠil, alors que la trompette retentit. Les corps des morts en Christ rejoignent vraisemblablement leurs Ăąmes dans les nuĂ©es en ce moment les morts en Christ ressuscitant en premier. Nous qui sommes encore vivants mais transformĂ©s, rattrapons alors ceux qui sont dans les nuĂ©es pour rencontrer le Seigneur dans les airs. Notre question Y a-t-il un Ă©cart entre le n° 3 et le n° 4 ? Il y a un prĂ©cĂ©dent pour cela dans le rĂ©cit de Matthieu sur la rĂ©surrection de nombreux saints » au moment de la rĂ©surrection de JĂ©sus. Ceux-ci se promenaient et ont Ă©tĂ© vus par beaucoup avant d’aller au ciel. Et voici, le voile du temple se dĂ©chira en deux, depuis le haut jusqu’en bas, la terre trembla, les rochers se fendirent, les sĂ©pulcres s’ouvrirent, et plusieurs corps des saint qui Ă©taient mort ressuscitĂšrent. Étant sortis des sĂ©pulcres, aprĂšs la rĂ©surrection de JĂ©sus, ils entrĂšrent dans la ville sainte, et apparurent Ă  un grand nombre de personnes. » Matthieu 2751-53 Si la mĂȘme chose se produit lors de notre Ă©vĂ©nement de rĂ©surrection/enlĂšvement, cela pourrait ressembler Ă  ceci Transformation Pause Rattrapage S’il y a une pause, cela pourrait nous permettre de garer nos voitures en toute sĂ©curitĂ© si nous conduisons, etc. 
 Mais, plus important encore, cela pourrait nous permettre de tĂ©moigner pour JĂ©sus un dernier moment. Cela semble ĂȘtre soutenu par la dĂ©finition The du mot rester » comme dans, nous qui sommes vivants et restons Continuer Ă  exister, surtout aprĂšs que d’autres personnes ou choses similaires ou apparentĂ©es ont cessĂ© d’exister c’est-Ă -dire que les morts en Christ ont cessĂ© de rester » Synonymes Continuer Ă  exister, endurer, durer, demeurer, continuer, persister, rester en l’air, rester dans les parages, se tenir debout, exister, tenir bon, prĂ©valoir, survivre, vivre Rester Ă  la place que l’on occupait est-ce que occuper jusqu’à ce qu’Il vienne » me vient Ă  l’esprit ? C’est une possibilitĂ© passionnante Ă  considĂ©rer, mais, je ne pense pas que plus de quelques instants minutes? Heures? Soient probables pour plusieurs raisons Nous savons que ceux qui restent sont ceux qui ont refusĂ© d’aimer la vĂ©ritĂ© et d’ĂȘtre ainsi sauvĂ©s 2 Thessaloniciens 210 La Bible ne mentionne pas un Ă©vĂ©nement de salut de masse juste au dĂ©but des Tribulations, Ă  part les HĂ©breux scellĂ©s Apocalypse 71-8. Cependant, il semble que beaucoup arrivent Ă  la foi Ă  un moment donnĂ© aprĂšs l’EnlĂšvement. Qu’arriverait-il Ă  l’ñme de quelqu’un qui est devenu un croyant aprĂšs l’évĂ©nement de transformation, puis est mort avant l’évĂ©nement de l’EnlĂšvement ? Nous sommes rattrapĂ©s » avec les morts ressuscitĂ©s en Christ et nous nous rencontrons dans les nuages ?
 Combien de temps JĂ©sus et les morts ressuscitĂ©s resteraient-ils dans les nuages pour attendre ? La raison la plus convaincante que j’ai pour ne pas croire que l’écart sera plus long que quelques instants, c’est que la rĂ©surrection d’entre les morts et la transformation des vivants semblent dĂ©clencher des Ă©vĂ©nements de type nuclĂ©aire. Pourquoi ? C’est de la physique simple, la conservation de l’énergie. Pour que le matĂ©riau se transforme en immatĂ©riel, une quantitĂ© massive d’énergie semble ĂȘtre libĂ©rĂ©e. Je suggĂ©rerais que nous considĂ©rions comme des tremblements de terre dans les Écritures. Observez la rĂ©surrection de JĂ©sus et des nombreux saints. Et voici, le voile du temple se dĂ©chira en deux, depuis le haut jusqu’en bas, la terre trembla, les rochers se fendirent, les sĂ©pulcres s’ouvrirent, et plusieurs corps des saints qui Ă©taient morts ressuscitĂšrent. Étant sortis des sĂ©pulcres, aprĂšs la rĂ©surrection de JĂ©sus, ils entrĂšrent dans la ville sainte, et apparurent Ă  un grand nombre de personnes. Le centenier et ceux qui Ă©taient avec lui pour garder JĂ©sus, ayant vu le tremblement de terre et ce qui venait d’arriver, furent saisis d’une grande frayeur, et dirent AssurĂ©ment, cet homme Ă©tait Fils de Dieu. » Matthieu 2751-54 AprĂšs le sabbat, Ă  l’aube du premier jour de la semaine, Marie de Magdala et l’autre Marie allĂšrent voir le sĂ©pulcre. Et voici, il y eut un grand tremblement de terre ; Car un ange du Seigneur descendit du ciel, vint rouler la pierre, et s’assit dessus. » Matthieu 281-2 Observez quand les deux tĂ©moins sont ressuscitĂ©s AprĂšs les trois jours et demi, un esprit de vie, venant de Dieu, entra en eux, et ils se tinrent sur leurs pieds ; Et une grande crainte, s’empara de ceux qui les voyaient. Et ils entendirent du ciel une voix qui leur disait Montez ici ! Et ils montĂšrent au ciel dans la nuĂ©e ; Et leurs ennemis les virent. À cette heure-lĂ , il y eut un grand tremblement de terre, et la dixiĂšme partie de la ville tomba ; Sept mille hommes furent tuĂ©s dans ce tremblement de terre, et les autres furent effrayĂ©s et donnĂšrent gloire au Dieu du ciel. » Apocalypse 1111-13 S’il y a une libĂ©ration d’énergie similaire lors de la transformation des morts et des vivants en Christ, pouvez-vous imaginer Ă  quoi cela ressemblerait ? Je crois que cela explique pourquoi nous devons ĂȘtre arrachĂ©s violemment, avec une grande force harpazo, par opposition Ă  une simple ascension. Il y aura une catastrophe incalculable qui se dĂ©roulera sur la terre dans notre sillage, ce qui aide Ă  expliquer les descriptions des sceaux et des quatre premiĂšres trompettes. Qu’il y ait un dĂ©calage dans le temps ou non, c’est quelque chose que nous ne pouvons que spĂ©culer. Allons-nous ressentir quelque chose ? Parce que l’évĂ©nement de transformation se produit en un clin d’Ɠil », nous ne ressentirons rien. Nos rĂ©cepteurs de la douleur nocicepteurs tirent Ă  5 Ă  30 mĂštres par seconde. Le clin d’Ɠil prend entre 300 et 400 millisecondes. Puisqu’un clin d’Ɠil prend beaucoup moins d’une seconde, nos systĂšmes neuronaux ne seront pas en mesure de dĂ©tecter ou de rĂ©pondre dans ce laps de temps. Quant Ă  l’enlĂšvement lui-mĂȘme, le verbe utilisĂ© signifie arracher violemment, avec une grande force ». D’autres endroits oĂč le mĂȘme mot harpazo est utilisĂ© comprennent Quand ils furent sortis de l’eau, l’Esprit du Seigneur enleva Philippe, et l’eunuque ne le vit plus. Tandis que, joyeux, il poursuivait sa route. » Actes 839 Je connais un homme en Christ, qui fut, il y a quatorze ans, ravi jusqu’au troisiĂšme ciel si ce fut dans son corps je ne sais, si ce fut hors de son corps je ne sais, Dieu le sait. Et je sais que cet homme si ce fut dans son corps ou sans son corps je ne sais, Dieu le sait, fut enlevĂ© dans le paradis, et qu’il entendit des paroles ineffables qu’il n’est pas permis Ă  un homme d’exprimer. » 2 Corinthiens 122-4 Comme la discorde allait croissant, le tribun, craignant que Paul ne fut mis en piĂšces par ces gens, fit descendre les soldats pour l’enlever du milieu d’eux et le conduire Ă  la forteresse. » Actes 2310 Parce que nous serons dans nos nouveaux corps Ă©ternels, et que cela semble ĂȘtre un Ă©vĂ©nement trĂšs rapide, je doute fortement que nous sentions » que l’on nous arrache aussi. Comme le corps de la rĂ©surrection de JĂ©sus, nous passerons par n’importe quoi sur notre chemin sans effet nĂ©faste, tout comme JĂ©sus est passĂ© par les portes verrouillĂ©es aprĂšs sa rĂ©surrection. Souvenez-vous de la femme de Lot En ce jour-lĂ , que celui qui sera sur le toit, et qui aura ses effets dans la maison ne descende pas pour les prendre ; Et que celui qui sera dans les champs ne retourne pas non plus en arriĂšre. Souvenez-vous de la femme de Lot. » Luc 1731-32 Ce passage de Luc m’a terrifiĂ© pendant un certain temps. Nous savons qu’il ne s’agit pas de la mĂȘme chose que la mention de Matthieu sur l’abomination de la dĂ©solation en fuite Matthieu 2415. Il n’est pas fait mention de la fuite ici, au lieu de cela, juste aprĂšs cet enseignement, Luc enseigne que l’un sera pris d’autres utilisations du mot incluent reçu », comme dans reçu Ă  l’agneau et au trĂŽne de Dieu et que l’autre sera laissĂ©. Dans le contexte, je crois personnellement que c’est un verset de l’EnlĂšvement. Je me souviens m’ĂȘtre demandĂ© si je serais comme la femme de Lot et que je ferais demi-tour au moment de l’enlĂšvement. J’ai examinĂ© mon cƓur et il n’y a rien d’autre qui me garderait sur cette terre Ă  part mes enfants. Cependant, je pourrais certainement m’imaginer les regarder avec anxiĂ©tĂ©. J’ai beaucoup priĂ© Ă  ce sujet. Je crois que Dieu m’a rĂ©vĂ©lĂ© que cela fait rĂ©fĂ©rence Ă  ce que JĂ©sus enseigne Ă©galement dans Luc 962. JĂ©sus lui rĂ©pondit Quiconque met la main Ă  la charrue, et regarde en arriĂšre, n’est pas propre au royaume de Dieu. » La femme de Lot ne cherchait pas sa famille, ses enfants. Ils Ă©taient avec elle. La femme de Lot regardait en arriĂšre avec nostalgie, parce que son cƓur Ă©tait Ă  Sodome. Rappelez-vous comment les anges ont littĂ©ralement dĂ» traĂźner Lot et sa famille, aprĂšs avoir essayĂ© pendant des heures de les convaincre de partir ? Ceux qui se dĂ©tournent de JĂ©sus et s’accrochent Ă  ce monde ne sont pas dignes de lui. Nous ferions bien d’examiner nos cƓurs, nous retenons-nous de vraiment suivre JĂ©sus ? Quiconque cherche Ă  prĂ©server sa vie la perdra, mais celui qui perdra sa vie la conservera. » Luc 2133 ; Voir aussi Matthieu 1039, 1625 ; Marc 835 ; Luc 924 ; Jean 1225 Veillez donc et priez en tout temps, afin que vous ayez la force d’échapper Ă  toutes ces choses qui arriveront, et de paraĂźtre debout devant le Fils de l’homme. » Luc 2136 Comment pouvons-nous ĂȘtre dignes d’entrer dans le royaume de Dieu et d’échapper Ă  toutes ces choses qui vont arriver ? Nous devons nous tourner et devenir comme des enfants Matthieu 182-4, littĂ©ralement, nous devons naĂźtre de nouveau ». Tous les vrais croyants entreront dans le royaume de Dieu et Ă©chapperont Ă  toutes ces choses. Pour plus d’informations Ă  ce sujet, veuillez consulter Qui est digne d’échapper Ă  toutes ces choses ? RĂ©sumĂ© L’expĂ©rience EnlĂšvement Je crois que nous serons conscients que l’EnlĂšvement est en cours. Le jour, dans l’heure, je crois que nous saurons qu’il est temps ! Je crois que nous entendrons le cri de commandement Montez ici » ?, la voix de l’ange et la trompette de Dieu. Je crois que nous verrons le Christ dans les nuĂ©es du ciel, et peut-ĂȘtre les morts en Christ se lever autour de nous. Car le Seigneur lui-mĂȘme, Ă  un signal donnĂ©, Ă  la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premiĂšrement. Ensuite, nous les vivants, qui seront restĂ©s, nous serons tous ensemble enlevĂ©s avec eux sur des nuĂ©es, Ă  la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles. » 1 Thessaloniciens 416-17 Nous pouvons Ă©galement ressentir, entendre et voir des tremblements de terre se produire. Quand ces choses commenceront Ă  arriver, redressez-vous et levez vos tĂȘtes, parce que votre dĂ©livrance approche. » Luc 2128 La sĂ©quence probable semble ĂȘtre JĂ©sus descend du ciel le troisiĂšme ciel spirituel dans les nuages ? le premier ciel atmosphĂ©rique avec les Ăąmes des croyants qui se sont endormis sont morts en lui. JĂ©sus crie, la voix d’un archange retentit, la trompette de Dieu retentit, et les morts et les vivants en Christ reçoivent leurs corps de rĂ©surrection. Ce changement se produit en un instant, en un clin d’Ɠil, au son de la trompette. Nous ne ressentirons rien. Cette transformation de matĂ©riel en immatĂ©riel peut entraĂźner une Ă©norme libĂ©ration d’énergie dans le monde entier. Cela peut dĂ©clencher des tremblements de terre, des Ă©ruptions volcaniques, des tsunamis. Nous ne laisserons ni corps ni sang derriĂšre nous ; Ceux-ci seront transformĂ©s. Nous laisserons nos vĂȘtements derriĂšre nous et serons vĂȘtus de robes blanches, reprĂ©sentant la justice de Christ. Les corps des morts en Christ joignent vraisemblablement leurs Ăąmes dans les nuĂ©es en ce moment les morts en Christ ressuscitent d’abord. Il peut y avoir un petit intervalle de temps moments? Minutes? Heures? Nous qui sommes encore vivants mais transformĂ©s, sommes alors enlevĂ©s avec ceux qui sont dans les nuĂ©es pour rencontrer le Seigneur dans les airs. Nos nouveaux corps traverseront les choses matĂ©rielles sans problĂšme. Nous ne ressentirons rien. BasĂ© sur des passages d’enlĂšvement dĂ©crivant les Ă©vĂ©nements de transformation et d’arrachage se produisant en un clin d’Ɠil », je ne crois pas que nous aurons littĂ©ralement le temps de regarder en arriĂšre au moment oĂč l’EnlĂšvement a lieu. Notre cƓur Ă  besoin d’ĂȘtre prĂ©parĂ© Ă  l’avance, lĂ  oĂč est notre trĂ©sor, lĂ  aussi sera notre cƓur Matthieu 621. Source Unsealed Traduit par PLEINSFEUX Une photo une date, c'est Ă  n'y pas croire C'Ă©tait pourtant hier mentirait ma mĂ©moire Et ces visages d'enfants, et le mien dans ce miroir Oh c'est pas pour me plaindre ça vous n'avez rien Ă  craindre La vie m'a tellement gĂątĂ©e, j'ai plutĂŽt du mal Ă  l'Ă©teindre Oh mon Dieu, j'ai eu ma part, et bien plus Ă  tant d'Ă©gards Mais quand on vit trop beau, trop fort, on en oublie le temps qui passe Comme on perd un peu le nord au milieu de trop vastes espaces À peine le temps de s'y faire, Ă  peine, on doit laisser la place Si je pouvais Encore un soir, encore une heure, encore une larme de bonheur Une faveur, comme une fleur, Un souffle, une erreur Un peu de nous, un rien de tout Pour tout se dire encore ou bien se taire en regards Juste un report, Ă  peine encore, mĂȘme s'il est tard J’ai jamais rien demandĂ©, ça c'est pas la mer Ă  boire Allez, face Ă  l'Ă©ternitĂ©, ça va mĂȘme pas se voir Ça restera entre nous, oh juste un lĂ©ger retard Y'en a tant qui tuent le temps, tant et tant qui le perdent ou le passent Tant qui se mentent, inventent en les rĂȘvant des instants de grĂące Oh je donne ma place au paradis, si l’on m’oublie sur Terre Encore hier Encore un soir, encore une heure, encore une larme de bonheur Une faveur, comme une fleur, Un souffle, une erreur Un peu de nous, un rien de tout Pour tout se dire encore ou bien se taire en regards Juste un report, Ă  peine encore, je sais, il est tard C’est pas grand-chose, rien qu’une pause Que le temps, les horloges se reposent Et caresser juste un baiser Un baiser Encore un soir, encore une heure, un peu de nous, un rien de tout Un soir Encore une heure Un peu de nous Un soir Jean-Jacques Goldman NĂ© Ă  Arnac en 1874, Etienne Marcenac part Ă  Paris au dĂ©but du XXe siĂšcle oĂč il frĂ©quenta assidĂ»ment les milieux rĂ©gionalistes. DĂšs 1908, il contribua activement Ă  la fondation de La Musette, "revue artistique et littĂ©raire, organe de la SociĂ©tĂ© des originaires du Massif Central", dont il fut 1909, il publie son poĂšme L'Aurillacoise, empreint de nostalgie, mis en musique par Mademoiselle Juliette Mayenobe "C'est Aurillac qui nous vit naĂźtre, au bruit de ses bons chaudronniers, dont les joyeux refrains peut-ĂȘtre nous Ă©gaillĂšrent les premiers. Nous connaissons toutes ses rues oĂč nous jouĂąmes tout bambins. Ses monuments, ses avenues, les coins discrets de ses jardins ..." Homme de lettres mais aussi et surtout homme de terroir profondĂ©ment attachĂ© Ă  ses racines, il rentre au pays en 1919, Ă  la fin de la premiĂšre guerre mondiale, et s’installe au hameau d’Uzols Saint-Santin CantalĂšs oĂč il possĂšde une publiera trois recueils de poĂšmes dont Quenouilles et Musettes en 1910, Pierre Quillard Mercure de France en Ă©crira la prĂ©face Dans une prochaine Ă©dition de son excellente anthologie des poĂštes du terroir, M. Adrien Van Bever ne manquera point de faire un place Ă  cĂŽtĂ© de Vermenouze Ă  M. Etienne Marcenac. Celui-ci n’est pas exclusif en son patriotisme auvergnat. Mais c’est l’Auvergne qui a tout son cƓur ; il en chante les horizons et les fĂȘtes et sans qu’il soit plus particuliĂšrement portĂ© Ă  la tristesse, il fait alterner les regrets avec les bourrĂ©es ainsi que doit le faire tout bon joueur de cabrette et avant leur disparition complĂšte il note pour ceux qui viendront aprĂšs lui les usages qui s’en vont et les mĂ©tiers qui meurent 
 »Entre deux poĂšmes, et parce que l'Ă©poque Ă©tait aux discours en tout genre et en toute circonstance, Etienne Marcenac n'a jamais manquĂ© d'honorer un condisciple. En tĂ©moigne le document ci-dessous extrait de la revue Lo Cobreto du 15 dĂ©cembre 1927, numĂ©ro entiĂšrement consacrĂ© Ă  Antonin Dusserre, Ă©crivain auvergnat paysan dĂ©cĂ©dĂ© Ă  Carbonat Arpajon sur CĂšre le 16 novembre1927 A l'ombre des bouleaux, son meilleur succĂšs, est publiĂ© en 1932. Dans un article paru en novembre 1932, l’écrivain Emile Guillaumin Ă©crivait, Ă  propos de l'ouvrage " M. Marcenac, qui n'est pas Ă  faire ses preuves, continue dignement son grand compatriote Vermenouze. Les alexandrins Ă©voquent avec beaucoup d'art, d'Ă©motion et de vĂ©ritĂ© les tableaux rustiques de son pays rude et fort ".En 1933, l’AcadĂ©mie Française lui dĂ©cerne le prix Artigue prix de poĂ©sie attribuĂ© de 1929 Ă  1967 pour A l’ombre des bouleaux, reconnaissant implicitement la qualitĂ© de l’écriture poĂ©tique d’Etienne tombe la plus monumentale du petit cimetiĂšre de Saint-Santin Cantales, celle oĂč reposent Etienne Marcenac et son Ă©pouse EliseSuivra Offrandes Ă  l'absente en 1942 auquel s’ajoutera Le rouet des rĂȘves, publication posthume, en 1959. En effet, Etienne Marcenac dĂ©cĂšde le 19 avril 1956, Ă  l'Ăąge de 82 ans, il est enterrĂ© dans le caveau familial Ă  Saint-Santin CantalĂšs aux cĂŽtĂ©s de son Ă©pouse dĂ©cĂ©dĂ©e prĂ©maturĂ©ment en rue d’Aurillac porte son nom et un panonceau a Ă©tĂ© apposĂ© sur l’un des murs de sa maison natale Ă  natale d'Etienne Marcenac Ă  ArnacSes strophes illustreront Ă©galement un grand nombre de cartes postales de la sĂ©rie Le Cantal Pittoresque que l’on pourra dĂ©couvrir en feuilletant l’album ci-dessous. Un clic sur l'image permet de l'agrandir et de lire les vers d'Etienne dĂ©couvrira Ă©galement un aspect de son Ɠuvre tĂ©moignant de son grand attachement Ă  ses racines cantaliennes et paysannes avec ce poĂšme Ă©crit Ă  Paris en dĂ©cembre 1908 que nous retranscrivons ci-dessous dans son intĂ©gralitĂ© Vieux NoĂ«l de chez nous C'est un soir gris et sale, il neige sur la ville ; On entend dans Paris rire de gais passants,Des bandes de fĂȘtards qui vont d'un pas agileVers des lieux de plaisir, vers de tristes restaurants de nuit, les cafĂ©s, les tavernes,OĂč de pĂąles beautĂ©s aux vieux font les yeux doux,Ont allumĂ© ce soir leurs nombreuses lanternes,Car on fĂȘte NoĂ«l, NoĂ«l aimĂ© de tous !Mais les cloches soudain, du haut des cathĂ©drales,Lancent aux quatre vents leur hosanna joyeux,Notre-Dame lĂ -bas, aux tours monumentales,RĂ©pond au SacrĂ©-CƓur qu'avoisinent les me sentant seul, dans mon Ă©troite chambre, Je referme aussitĂŽt le livre que je l'Ăątre oĂč me tient la bise de dĂ©cembreMon cƓur, trĂšs chers parents, pense Ă  vous, au pays !Je me revois enfant, sous votre toit, Ô mĂšre !Sous le toit paternel oĂč nous aimions jadisA nous retrouver tout prĂšs de la flamme claireQuand les travaux des champs Ă©taient partout jour, comme aujourd'hui, j'ai suivi mon grand frĂšreA travers nos grands bois oĂč seuls les houx sont verts ;Dans les arbres tout nus le vent gronde en colĂšre ;Les chemins, les sentiers de neige sont bois frileux, dĂ©serts, me plaisent davantage ;Les ruisseaux sont bordĂ©s de colliers de cristalLes ronces que le flot atteint Ă  son passageSe couvrent de joyaux sous le vent glacial !Nous rentrons en portant une trĂšs vieille soucheOĂč devaient s'abriter la fouine et le travers nos landiers tout entiĂšre on la couche Car ce soir de NoĂ«l nous devons veiller doit faire un grand feu, car la Vierge Marie,D'aprĂšs les vieilles gens, doit rentrer en passant,Et pour qu'elle n'abĂźme sa robe fleurieNous avons balayĂ© le foyer Vierge peux passer sans nous rendre visite,Nous ne serons pas seul ! De partout, Ă  grand bruit,Les gens viendront chez nous, se rĂ©chauffer trĂšs viteAvant de rentrer tous Ă  l'Ă©glise Ă  les revois d'ici, ces fermiers, ces fermiĂšresQui viennent en sabots par les mauvais chemins,OĂč les guident ce soir, quelques faibles lumiĂšresVers notre pauvre Ă©glise oĂč rayonnent les saints !Ils m'ont tous rapportĂ© des pommes, des noisettes ;Les vieux me font sauter parfois sur leurs que peu Ă  peu je remplis mes pochettes,Les gens de saint-Rouffet me parlent de grands veilleurs sont nombreux, assis autour de l'Ăątre ;Devant la flamme claire, au bruit des carillonsNous Ă©coutons Ă©mus les contes d'un vieux pĂątre,Parlant de revenants dans les chemins qu'Ă  Paris les fĂȘtards rĂ©veillonnentQue JĂ©sus naisse aussi dans les temples dorĂ©sEt que du haut des tours des cloches carillonnent Aux murmures des orgues et des chants sacrĂ©s !Ce soir, je suis lĂ -bas sous le toit solitaireOĂč, tout petit bambin, j'ai tant jouĂ© jadis ;Je revis un instant avec ceux qui naguĂšre,Venaient Ă  la NoĂ«l dans notre vieux j'ai tant regrettĂ© ce passĂ© plein de charmes,Les NoĂ«ls de chez nous, mes NoĂ«ls d'autrefoisQue mes yeux tout Ă  coup se sont remplis de larmesTandis que dans le ciel semblaient chanter des voix !DTF* * *

autour du toit qui nous vit naitre